Pendant l’élection de 2018, chaque fois que je parlais à un résident qui vivait à côté du boulevard Jeanne d’Arc, il y avait inévitablement un sujet qui revenait toujours, les vibrations et le bruit qui proviennent de la chaussée. Bien au-delà des niveaux entendus sur d’autres artères, il était clair que quelque chose n’allait pas du tout avec le boulevard Jeanne d’Arc, et c’est d’ailleurs l’une des premières réunions que j’ai eues avec le personnel pour assurer le suivi.
Comme on me l’a expliqué, lorsque Jeanne d’Arc a été construite, l’ancienne ville de Gloucester utilisait un style de placement des égouts que la ville d’Ottawa n’autorise plus. Les puisards et les grilles d’égout sont situés sur la surface de la route principale, plutôt qu’à l’écart des véhicules, le long du bord de la route. Malheureusement, cela signifie que chaque véhicule qui roule sur une grille inégale, ou qui la heurte à un angle, provoque des vibrations et du bruit, ce qui est bien sûr plus prononcé lorsqu’un véhicule plus gros comme un camion ou un autobus roule dessus.
Lorsque j’ai rencontré le personnel de la ville, il m’a expliqué que le calendrier initial des réparations et du resurfaçage de Jeanne d’Arc (du boulevard Innes au boulevard St. Joseph) n’était pas prévu avant sept ans. Jugeant cette situation inacceptable pour un si grand nombre de résidents concernés, le personnel, à ma demande, a avancé son évaluation de la route et a accepté mes préoccupations quant à la nécessité de procéder à des réparations plus urgentes que celles prévues dans le calendrier existant. En particulier, ils ont identifié la zone autour de l’intersection du boulevard Orléans comme la zone la plus urgente, en raison de la grave détérioration de la route. J’ai donc pu faire avancer ces travaux, car le ministère a pu obtenir les fonds nécessaires pour faire avancer cette partie du projet complet jusqu’à cette année.
Il ne s’agit pas d’un pansement à court terme, ni d’un remplacement rapide de la couche supérieure de l’asphalte, mais d’un resurfaçage complet de l’assise de la route afin de garantir la pérennité des améliorations. En ce qui concerne les grilles d’égout, ce projet contribuera également à corriger ce problème en démolissant la route jusqu’aux égouts et en réajustant et isolant les grilles afin de réduire l’impact vibratoire des véhicules qui les frappent. En plus de la réfection de cette section de la Jeanne d’Arc, cette année, des réparations spécifiques de la ferronnerie seront effectuées plus au sud de la Jeanne d’Arc, en direction d’Innes, afin de contrôler les vibrations et le bruit des égouts, en préparation de la réfection complète de la route, qui a également été avancée dans le calendrier des travaux. Comme beaucoup le savent, les travaux de réparation des bouches d’égout, des couvercles d’égout et d’autres ouvrages en fer ont commencé et devraient être achevés dans les semaines à venir.
J’organiserai une réunion publique avec le personnel de la ville pour partager plus d’informations sur ces travaux et les plans futurs pour Jeanne d’Arc le 3 juin 2021 à 18h30. J’ai demandé à la Ville d’inclure l’information sur l’assemblée publique dans son avis postal, comme indiqué ci-dessous, afin que tous les résidents qui sont adjacents à la route reçoivent l’information directement chez eux. Des employés de divers services municipaux participeront à l’assemblée publique et aborderont des sujets tels que les vibrations, le bruit, le projet de construction et la circulation des camions sur le boulevard Jeanne d’Arc.
Les résidents qui souhaitent assister à la réunion publique du 3 juin 2021 peuvent confirmer leur présence en envoyant un courriel à Laura.Dudas@ottawa.ca.
Je veux être sans ambiguïté : les solutions permanentes pour contrôler le bruit et les vibrations le long de cette route sont absolument une priorité pour moi et je continuerai à travailler avec le personnel de la ville pour défendre les résidents, alors que nous faisons pression pour la réparation complète de cette artère majeure. Depuis trop longtemps, les résidents qui donnent sur cette route doivent subir les effets de cette infrastructure en ruine, qui a un impact sur leur vie quotidienne et sur la jouissance de leur maison.