Suivant l’annonce récente au sujet du retard nouveau du transfert de le TLR étape 1, la ville se questionne si elle devrait avancer avec la deuxième phase du projet.
L’extrémité de l’est est la région qui est principalement influencer par l’extension de l’étape 2. L’étape 2 nous ouvre la porte à toute le capital. Elle nous permet de réaliser les avantages d’économies, de transport et de planification intelligente que nous anticipons tous depuis le capital a décidé de construire un métro léger.
Il est clair que les coûts du projet augmenteront substantiellement s‘il y a retard. Le temps qu’il faudra pour obtenir des pelles dans le sol sera considérablement prolongé, ce qui signifie que la station Blair sera le seul point d’entrée du système de TLR pour toute l’extrémité est d’Ottawa. La ville sera aussi tenue de payer des frais additionnels pour ne pas poursuivre le contrat.
En incluant des pénalités plus sévères, des échéanciers réalistes et des mécanismes de signalement plus stricts, le contrat de l’étape 2 corrige déjà un grand nombre de ces problèmes connus.
Lors nous entamerons cette prochaine étape dans l’achèvement du système de transit de notre ville et que le public et le Conseil apprennent davantage sur les lacunes du contrat de l’étape 1; ces leçons apprises vont guider nos attentes en matière de transparence et de responsabilisation.
L’étape 2 verra la livraison de quatre nouvelles stations, y compris le viaduc du chemin Montréal/174, de Jeanne d’arc Orléans, de Place d’Orléans et du chemin Trim.
L’étape 1 n’est qu’une petite partie du système de transit. Elle était notre acompte sur un système ferroviaire et fiable qui positionne l’extrémité de l’est comme un nouveau pôle économique, qui augmente les valeurs de propriété, qui améliore notre trajet et qui nous relie avec le reste de la ville, y compris l’aéroport, l’extrémité du sud, et l’extrémité de l’ouest.
Le prix de cette connexion est coûteux, mais le statu quo de l’augmentation du trafic routier sur nos autoroutes de l’est et des rues résidentielles n’est pas viable.
L’étape 2 est un investissement dans la prospérité de notre ville et notre avenir durable. Retarder l’étape 2, et potentiellement ajouter un minimum de dizaines de millions de dollars à un projet qui nous fournit un système de transit complet et entièrement fonctionnel, n’accomplit rien.